



Autour de l’oeuvre “In-tra-fra”, 2012
Triptyque où je retrouve une certaine pregnance
dans la partie résiduelle d’une image,
prise accidentellement à travers une vitre sale de train.
La sculpture, dans cet apparent déplacement,
s’intègre sans effort,
et se manifeste dans la candeur de l’apparition.
Dans les lieux où le sens certain est inconciliable,
les images émergent, se précisent.
Le mot devient incapable de définir,
le son réapparaît,
et quelqu’un trouvera de nouveaux mots
pour de nouveaux lieux.


